Maitresse Gaëlle

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il y a 6 mois

J’ai rencontré Maitresse Gaëlle dans un bar. Elle n’était pas Maitresse à l’époque.

Je la trouvais très belle : la quarantaine, cheveux mi-long blond roux, belle poitrine, superbe cul et de longues jambes magnifiques. Il faisait chaud, les terrasses étaient bondées. Je me pressais pour arriver avant la fermeture d’un magasin. C’est là que je bouscule la dernière table de cette terrasse et renverse le verre de vin de la cliente, ma future Maitresse. Je me confonds en excuse et lui demande ce que je peux faire pour réparer ma maladresse. Et elle se mit à pleurer. Je ne savais plus où me mettre.

Aussi, je me suis assis pour la consoler. Je lui pris la main, la tapotais et lui dit que ce n’étais pas grave. Que je remplacerai la robe et lui offrait un nouveau verre. Il a fallu quelques minutes avant qu’elle ne puisse me répondre.

« Ce n’est pas votre faute » dit-elle « Mon mari vient de me plaquer. Le verre n’a fait que faire déborder le vase ».

Elle m’expliqua qu’il était parti pour une petite jeune de 15 ans de moins. J’essayais de la consoler le mieux que je pus. J’essuyais ses beaux yeux verts avec un mouchoir en papier et lui proposais de diner avec elle sur cette terrasse. Elle accepta. On fit les présentations. Comment pouvait-on plaquer une si belle femme ? Nous passâmes une bonne soirée où elle dit que pour le prochain mec elle sera plus exigeante, plus ferme.

« Exigeante, comme quoi ? » lui demandais-je. « Je ne sais pas. » répondit-elle.

Elle resta pensive puis dit :

« Aviez-vous déjà trompé votre femme ? » « Non » répondis-je. « Pourquoi ? » demanda-t-elle. « Vous avez dû avoir des occasions. » « Pas vraiment ou pas clairement en tous cas. Mais de toute façon, je trouve qu’une femme c’est déjà difficile alors deux !!! Et en plus je ne sais pas mentir ». « Votre femme vous a-t-elle comblé ? » demanda-t-elle. « Non » répondis-je « Parce que ? » « Parce que j’ai des gouts sexuels un peu particulier. Je pensais qu’elle m’aiderait à assumer mes fantasmes mais ce ne fut pas le cas. » « Comme quoi ? » dit-elle. « Hum » dis-je « C’est un peu heu compliqué. Oh et puis tant pis. Je voulais une femme qui aime le sexe et qui soit dominatrice sexuellement. Mais ce ne fut pas le cas ». « Vous avez des exemples ? » demanda-t-elle. « Oui, mais c’est un peu délicat à expliquer ». Je la voyais déçu de ne pas avoir d’explication. « Vous êtes bien tous pareils vous les hommes. Quand on vous demande ce que vous voulez, vous ne répondez pas ». « Et quand on vous le dit, vous ne voulez pas » dis-je « C’est bien là le problème. J’ai toujours voulu assumer mes fantasmes avec une femme qui verrait dans mes yeux comme je l’aime de m’aider à les assumer. Vous n’aimeriez pas voir dans les yeux de votre homme soumis tout l’amour démesuré qu’il vous porte lorsque vous accédez à ses désirs ? ». « Si » dit-elle.

Je la vis dubitative.

« Bon heu, voilà » dis-je en me sentant rougir « Je suis un adepte du Bdsm ». « Hum, vous êtes bizarre » dit-elle. « Pourquoi » dis-je « Tous les gouts sont dans la nature. Ce n’est pas plus bizarre que d’être homo ou bi sexuel ». « C’est vrai » dit-elle « Vous avez raison. Je m’excuse ».

Elle était tellement belle que je me lançais.

« Je vous propose un marché » dis-je. « Je connais une école de formation un peu spéciale. Je vous offre un week-end d’initiation. Et après vous me direz ce que vous en pensez, D’accord ?». « C’est quoi exactement ?» me demanda-t-elle « C’est une école pour les personnes qui souhaitent justement devenir dominant ou soumis. Ça leur permet d’évoluer en ce sens » répondis-je. « Comment connaissez-vous cette école ? » me demandât-elle. « J’y ai fait plusieurs stages. » dis-je « Quelle sorte de stage ? » « Stage d’apprentissage de soumis et autre » « Pourquoi ? » « Parce que j’aime ça » dis-je « et que je souhaite jouir du temps qu’il me reste à faire jouir ma compagne et que pour cela il faut que ce soit fusionnel. »

Ça a eu l’air de la perturber. Finalement, elle accepta. Nous prîmes rendez-vous pour un week-end d’initiation via l’application de mon mobile. Nous terminâmes la soirée en discutant de chose et d’autres. J’ai même réussi à la faire rire ce qui n’était pas évident. Je la raccompagnais jusque chez elle. Après échange de nos numéros de téléphone, nous avons pris rendez-vous le vendredi dans 15 jours après l’initiation. Je lui dis bonsoir. Elle m’embrassa sur la joue et entra chez elle. Nous nous sommes retrouvés 15 jours plus tard.

Elle avait déjà changé. Plus sexy, plus sûre d’elle et plus dominatrice dans sa tenue et son comportement. Elle était vêtue d’un haut et d’un pantalon en cuir qui mettait bien en valeur ses formes avec des hauts talons. Quels seins et quel cul !!! Je m’imaginai déjà la caressant et la léchant. Nous avons longuement parlé de son stage m’avouant qu’elle avait apprécié. C’était une vraie découverte pour elle. Elle me raconta son week-end, la surprise, le doute, puis l‘acceptation. Elle passa pas mal de temps en me questionnant sur la soumission, le BDSM et certains de mes fantasmes. En fin de repas, je lui proposais de venir chez moi pour lui montrer le grenier que j’avais aménagé en donjon. Elle accepta pour mon plus grand plaisir.

Elle découvrit tous les objets que j’avais et dont elle avait, pour certains, appris l’usage pendant son stage : des plugs et des godes de toutes tailles, cage de chasteté avec ou sans tige urètre, avec ou sans pointe, anneaux avec pointe, fouet, martinet, cravache, ballstretcher, pinces à seins, baillons, … Puis elle ouvrit l’armoire ou se trouvait toutes les tenues qui me permettaient de me féminiser : corset, jupes courtes et microjupes, robes, chaussures à talons, cuissardes, porte-jarretelles, perruques, … Ne lui ayant rien dit à ce sujet, je fus un peu surpris de sa non réaction mais je me suis dit que c’était bon signe et que son stage avait été bien éducatif. Puis, à côté, le petit meuble qui me servait à me maquiller.

Comme d’habitude lorsque j’entrais dans cette pièce, je me mettais à bander comme un âne dans ma cage. Elle me posa quelques questions auxquelles je répondis. Puis elle se retourna vers moi et dit : « J’ai envie d’essayer certains de ces objets ». Je lui fis un grand sourire, m’agenouillais devant elle, lui baisait les mains et dit : « Ce serait avec un grand plaisir Madame ». Son regard changea ? Il devint dur et pervers. Puis elle dit : « Déshabille-toi et met toi à genou devant moi esclave ». Je m’exécutai. Elle attrapa d’abord un collier ou était écris « SLAVE » puis elle m’installa des pinces à tétons. Elle vérifia qu’ils tenaient bien ce qui me fit pousser un petit cri. « Tais-toi » me dit-elle. Elle attrapa un martinet et me donna un bon coup sur les fesses. Je dus me retenir pour ne pas pousser un cri. « Comment » dit-elle « Oui Maitresse » répondis-je Puis elle attrapa une ceinture et regardais tous les godes pour savoir lequel elle allait monter dessus. Elle pointa celui du milieu qui faisait 4 cm. Je lui montrais celui du dessus.

« C’est Maitresse pour toi maintenant. Nous verrons à la fin de la séance si je t’adopte comme esclave ». « Merci Maitresse » répondis-je.

Elle prit donc celui de 5 cm, l’installa, s’approcha de moi et me l’enfila directement dans la bouche et dit « Comme ça, je ne t’entendrais plus ». Elle attrapa de nouveau le martinet et me fouetta à nouveau plusieurs fois les fesses et le bas du dos. Après m’avoir bien défoncé la bouche, elle m’ordonna d’aller m’allonger sur le dos sur la table. Elle m’attacha les cuisses aux chaines suspendues afin d’avoir les jambes levées et bien écartées et le cul à disposition. Puis elle m’attacha les mains au pied de la table avec des menottes. Ainsi je ne pouvais plus bouger. Elle prit l’anneau pénien à pointe et un bâillon-os. Elle me mit d’abord le bâillon. Puis elle alla dans le frigo prendre une bouteille d’eau froide pour me faire débander ce qui fut assez rapide et enfin installa l’anneau pénien en serrant les pointes justes ce qu’il faut.

Elle attrapa le lubrifiant et commença à bien m’enduire l’anus, entra un puis deux doigts. Elle finit par lubrifier son gode, approcha son gland de mon trou et poussa d’abord doucement. La pression devint de plus en plus forte jusqu’à ce que mon sphincter finisse par céder. Un léger « plop » m’indiqua qu’elle était enfin entrée en moi. C’était bon. Elle commença alors doucement ses va et viens pour m’enfoncer de plus en plus profondément ce gode. Une fois arrivé bien au fond, elle m’attrapa le pénis et les boules et commença à malaxer le tout. Je me mis à bander comme un âne. Les pointes entrèrent dans ma queue. Je gémissais de douleur mais c’était bon. Enfin elle commença à me défoncer le cul. Je ne mis pas longtemps à éjaculer copieusement. Elle enleva l’anneau pénien, défis sa ceinture mais laissa le gode au fond de moi et vint récupérer mon sperme avec son doigt pour me le faire avaler. Je récupérais tout et suçait bien son doigt comme une bonne salope.

« Tu es un bon soumis » me dit-elle. « Merci Maitresse » répondis-je « Vous n’êtes pas mal non plus » ce qui me value un coup de martinet sur les fesses et un grand sourire.

J’étais heureux car je voyais dans son regard la fierté, la jouissance d’avoir réussi son premier test réel. Nous avons fini au lit ou nous avons fait l’amour normalement. Je me réveillais le premier et réussissais à m’extirper du lit sans la réveiller. Je préparais le petit déjeuner. Je remis mon collier « SLAVE », des menottes reliés entre elles par des chaines aux mains et aux pieds puis je lui apportais son plateau au lit une cravache dans la bouche.

L’odeur du café la réveilla. Elle se redressa, me regarda, sourit et dit « Bonjour et merci mon soumis, c’est très gentil de ta part » Je posai le plateau sur ses cuisses et me mis à genoux dans l’attente des ordres. Elle attrapa la cravache et fouetta mes fesses. Je sursautais bien sûr mais j’appréciais son attention. Une fois son petit déjeuner terminé, elle posa son plateau par terre et dit « Puisque tu m’as sali cette nuit, tu vas venir me nettoyer maintenant ». Je me levai, tirai les draps, elle écarta les jambes pour faciliter mon accès et je me mis à commencer mon ouvrage. D’abord les lèvres.

J’entendis son souffle se raccourcir. Puis j’entrai ma langue dans son vagin de plus en plus profondément. Elle m’y aida en appuyant de ses deux mains sur ma tête. Puis des cercles de plus en plus resserrés sur son clitoris. Elle finit par jouir et m’envoya ses jets de cyprine en pleine figure. Je fis de mon mieux pour ouvrir la bouche et avaler son nectar. Après avoir repris ses esprits, elle m’attrapa le bas du visage et m’embrassa, puis dit :

« Je souhaiterai voir ta féminisation. Montre-moi ce que tu sais faire » « Vous souhaitez ou vous voulez Maitresse ? » dis-je afin de lui faire remarquer que son statut était d’exiger.

Elle sourit, me demanda de me retourner et me donna coups de cravache pour mon insolence.

« Je veux te voir dans une tenue de soumise » « Est-ce pour sortir, Maitresse » demandais-je « Non, pourquoi » demanda-t-elle « Parce que j’ai des tenues sobres pour sortir et des tenues de petite salope uniquement pour l’intérieur Maitresse »

Elle réfléchit quelques secondes et dit « Tenue de petite salope »

« Bien Maitresse, je vais faire de mon mieux. J’en ai environ pour une heure » dis-je « OK » dit-elle « Je vais prendre ma douche et m’habiller ».

Je montais dans le donjon, pris une bonne douche bien à fond et me préparais. Une fois bien séché, j’allais à ma garde-robe pour choisir ma tenue de salope. Je devais sortir le grand jeu pour lui plaire et ne pas la décevoir. Je commençais par mettre un corset noir et rouge avec porte-jarretelles seins à l’air. Une fois bien serré, on ne voyait plus mon léger ventre mais de légers seins sortaient du corset.

J’installai ensuite des pinces à tétons reliées entre elles par une chaine elle-même reliée à l’anneau de mon collier au moyen d’une laisse. J’accrochai un poids à chaque pince. J’aimais le mal que me procurai la tension des tétons. J’enfilais des bas noirs avec de légers dessins et les fixaient aux porte-jarretelles. Puis j’enfilais mes cuissardes en vinyles noires bouts pointus, talons aiguilles 12 cm et lassées de haut en bas à l’arrière. Je choisis de mettre ma cage de chasteté Bdsm avec la tige urètre. J’accrochai la clé à une des pinces de mes tétons. Je pris mon gros plug anal avec sa queue de chien et le posa sur ma coiffeuse.

Enfin, je m’installai devant ma coiffeuse pour me maquiller. Heureusement j’avais pris des cours de maquillage pour avoir l’air vraiment féminine. En un peu plus d’une heure, j’étais presque prêt. Je mis ma perruque blonde de petite salope, mis mon rouge à lèvres rouge vif, de longues boucles d’oreille puis je me regardais. J’étais inquiet de voir comment Maitresse Gaëlle allait réagir. Il ne me restait qu’à enfiler mon gros plug et une micro-jupe qui laissait dépasser la cage de chasteté et le plug avec sa queue. Je me regardais dans le miroir et me trouvais assez réussi comme salope. Mais je trouvais qu’il me manquait encore quelque chose pour être plus soumis. J’attrapai des menottes reliées entre elles par une chaine et les fixaient à mes chevilles. Puis j’attrapai les deux paires de menottes enchainées dont la première partie se fixait aux poignets et la deuxième au niveau des cuisses afin de ne plus pouvoir bouger les mains.

Puis j’attrapai un fouet que je mis en travers de ma bouche et descendis au salon retrouver Maitresse Gaëlle. J’étais inquiet de sa réaction. Allait-elle apprécier ? Serait-elle choquée ? Même si elle avait été éduquée pendant son stage, apprécierait-elle ? Je frappais à la porte du salon et entendis « Entre ma petite salope soumise ». J’entrais et dit en laissant tomber le fouet : « Bonjour Maitresse, je suis Brianna, votre petite salope soumise à votre service »

Elle me regarda de la tête aux pieds comme si elle décortiquait mon déguisement. Elle me fit tourner sur moi-même pour bien voir tous les éléments de ma tenue. Lorsque je me retrouvais face à elle, je levais les yeux pour voir sa réaction. Elle souriait juste. Puis elle finit par dire « Tu as l’air d’une vraie petite pute soumise. Je suis fier de toi Brianna. Pour montrer que je suis satisfaite et parce que tu as laissé tomber le fouet je vais te donner 15 coups. »

Elle attrapa ma laisse, tira sur mes tétons, me fit retourner et me demanda de relever le peu de jupe que j’avais.

« Tu compteras chaque coup en me remerciant à chaque fois » dit-elle.

La séance commença :

« Un, merci Maitresse »
« Deux, merci Maitresse » « Trois, merci Maitresse »

Elle augmenta la f o r c e de plus en plus fort. Mes fesses devaient déjà être bien rouges.

« Quatre, merci Maitresse » ….. « Quinze, merci Maitresse »

J’avais mal mais c’était jouissif. Ma queue essayait de bander dans sa cage et mes fesses me brulaient. Mais j’aimais ça.

« Tu me fais mouiller ma salope, tu vas à nouveau devoir me nettoyer » dit-elle.

Je descendis son pantalon en cuir. Elle avait un ensemble de lingerie très sexy. Je sortais ses seins de son corset et commençais à les lécher. Ils pointèrent immédiatement puis je lui malaxai les tétons qui étaient très sensible avec mes lèvres et ma langue. Elle aimait ça. Je l’allongeai sur le canapé et je continuais sur ses seins puis je descendis jusqu’à son sexe que je commençais à titiller. Je la sentis se cabrer. Elle se caressait les seins et titillait ses tétons.

Je voulais la faire jouir avec ma langue. Je commençais par ses lèvres puis enfonçais ma langue dans son vagin. Elle appuya sur ma tête pour que je m’enfonce plus profondément en elle. Quand enfin je sentis qu’elle était au bord de l’orgasme, je commençais à faire des larges cercles autour de son clitoris puis je les réduisis petit à petit jusqu’à ce qu’elle explose. Elle tremblait de partout en poussant des cris. Lorsqu’elle eut repris ses esprits, je la nettoyais avec ma langue puis avant d’aller prendre une douche, elle me dit :

« Tu es une belle salope qui m’a bien fait jouir. Un vrai bonheur. Merci Brianna. Continue comme cela. » « Merci Maitresse. Mon plaisir est de vous satisfaire et de vous donner du plaisir » répondis-je.

Je la trouvais encore plus belle. Nous avons continué de nous voir tous les week-ends pendant près de 2 mois. Elle progressait dans sa domination et moi dans ma soumission. Puis un jour, elle me dit « Je ne serai pas là le week-end prochain. Je dois m’absenter plusieurs jours. Soit sage et on se revoit le week-end d’après ». Les deux semaines m’ont paru longues. Elle me manquait. Déjà qu’elle me manquait dans la semaine alors deux semaines. Quant vint le week-end le vendredi soir, je me préparais à la recevoir.

Je me suis fait belle et sexy : cage de chasteté avec pointes et plug urètre, corset élégant mauve et noir avec seins apparent, bas et porte-jarretelles assortis, pinces à sein avec chaines et laisse, collier soft avec juste la lettre « S » assez discrète mais présente, jupe courte qui moulait bien mon cul, talons haut de 12 cm, et pour finir une veste qui ne fermait pas mais cachait mes seins tout en laissant suggérer le dessous. Et naturellement un gros plug dans le cul. Après un bon maquillage sobre, je me trouvais belle et sexy mais pas pute. Je voulais qu’elle me trouve belle. Plus que d’habitude, lorsque nous prenions le métro. En effet, elle aimait me faire sortir comme cela aux heures de pointe. En effet, c’était l’heure de tous les pervers venaient se coller à moi pour tâter mon cul. Le plus drôle c’était ceux qui s’approchait par devant et se retrouvait la main sur ma cage. Leur tête était géniale à voir. Parfois, il y en avait qui me proposait des rendez-vous. Il y a même eu quelques femmes pour me peloter et me traiter de belles salopes. Lorsque je l’entendis entrer (je lui avais donné les clefs), je me levais du canapé, vérifiait ma tenue pour l’accueillir correctement, me mis à genou tête baissée, la laisse dans une main, le martinet dans l’autre comme un bon soumis. Elle leva ma tête, me fis relever et m’embrassa.

« Tu es très belle » dit-elle. « Ça tombe bien, nous allons diner dehors ce soir. J’ai à te parler ». Elle prit le martinet puis avec la laisse me fit tourner sur moi-même et dit : « Tu es parfaite rien à rajouter ». Elle me fit faire demi-tour, leva ma jupe et me donna un bon coup de martinet ce qui me fit sursauter. Nous prîmes le métro. Comme d ‘habitude, elle choisit la rame la plus bondée pour que je me fasse peloter. Arrivée au restaurant, on nous amena à la table qu’elle avait réservée discrète un peu à l’écart. Elle nous commanda deux coupes de champagne, puis prit la parole : « Je vais t’expliquer pourquoi je n’étais pas là le week-end dernier. La première des raisons était que je voulais savoir si tu me manquerais. Tu m’as beaucoup manqué. La deuxième raison est que j’ai fait un stage d’une semaine de perfectionnement au rôle de

Maitresse afin d’être une bonne Maitresse pour toi. Je t’aime énormément telle que tu es surtout en bonne soumise attentionnée. Mais voilà, ça ne me suffit pas. » Je devins inquiet. J’étais heureux avec elle et je voulais que ça continue. Mais peut-être avions nous atteints ses limites. Elle ajouta « Donc j’ai pris une décision, pendant ce stage, avec l’aide de l’équipe pédagogique qui m’y a bien aidé » Je baissais la tête. Triste en pensant que ça allait se terminer.

« Ne soit pas triste » dit-elle.

Elle ouvrit son sac en sorti deux feuillets qu’elle me tendit.

« Lis ceci et donne-moi ta réponse dès que possible. Tu as le temps que tu veux » Je lis le titre : « Contrat de soumission totale » Je la regardais étonné. « Lis » dit-elle.

Je lisais les quatre pages en détail. Je n’avais rien à y redire. Pouvoir vivre ma soumission totale avec cette superbe femme attentionnée me remplissait de bonheur. Je m’approchai d’elle avec un grand sourire et l’embrassai langoureusement. Elle se laissa faire et me dit « C’est la dernière fois que je te laisse faire ». « Avec ta bouche, mets ton empreinte de rouge à lèvres sur chaque page et j’en ferai autant. Ce sera notre pacte ». Nous avons passé une bonne soirée. Au retour à la maison, elle m’a fait bien souffrir mais avec énormément de plaisir. Je crois qu’après son stage, elle avait encore progressé dans son rôle de Maitresse. Je l’en aimais que plus. Nous vécûmes pendant plus d’un an dans un bonheur parfait en échangeant régulièrement sur nos fantasmes afin de les assouvir. Puis vint un jour ou elle me dit « il me reste un fantasme que nous n’avons pas encore exécuté » dit-elle. « Que puis-je faire pour vous satisfaire Maitresse » « J’aimerais que tu te fasses sauter par plusieurs hommes comme une vrai pute » « Je ferai ce que vous voudrez Maitresse quand il vous plaira » « Non » dit-elle « Dans ce cas, tu as le droit de refuser et je ferais comme tu voudras » Je la regardais, puis baissais la tête et dis « Maitresse, je ferai ce que vous voulez. » « D’accord » dit-elle « Nous allons commencer par un homme, puis plusieurs si cela te convient » « Oui Maitresse » Dis-je « Merci Maitresse ». Le week-end suivant, elle amena à la maison un jeune homme blond mignon. Elle m’avait demandé de mettre ma tenue de petite pute pour que l’homme ne me considère pas comme autre chose. Elle m’avait attaché à des chaines au sol et au plafond pour bien montrer que j’étais à disposition. Elle lui avait expliqué ma situation et que je devais faire tout ce qu’il voulait tant qu’elle était d’accord. Elle s’approcha de moi et lui dit en caressant ma bite dans sa cage à pointe « Tu vois quand je la caresse, elle se met à bander. Mais comme il y a des pointes partout ça fait mail. Hé bien elle aime ça tout de même. » Il me vit faire la grimace. Mais Maitresse lui attrapa la main pour peloter mes boules et ma queue. Je bandais encore plus dur. La douleur était intense. Il attrapa la laisse de mes tétons et tira dessus ce qui me fit pousser un cri. Il passa derrière moi, retira mon plug, le trouva assez gros et me le renfonça v i o l e m m e n t . « Il me plait bien » dit-il « Je vais la défoncer » Maitresse me décrocha pendant qu’il se déshabillait et me fis mettre à genou. Il s’avança vers moi, sa grosse bite devant les yeux. Maitresse lui mis un préservatif et me dit « Branle-le ».

Je m’exécutais. Puis après quelques minutes, elle ajouta « Suce-le ». C’est à ce moment qu’elle commença à filmer. Je m’exécutais et le suçais le mieux que je pus. Il avait l’air d’apprécier car il m’attrapa la tête et m’enfonça son membre jusqu’au fond de ma gorge, me relâcha pour que je puisse respirer et enfin fit des v i o l ents va et viens dans ma bouche. Je serrais le plus fort possible avec mes lèvres pour le satisfaire. Une bonne bite n’avait rien à voir avec un sex-toy. J’appréciais sa belle queue malgré la v i o l ence des coups. Il sortit de ma bouche, me retourna et me pris en levrette. Maitresse lui tendit un tube de lubrifiant. Il en mit copieusement sur mon petit trou en ayant pris soin de m’enlever mon plug auparavant. Il me défonça d’abord le cul en levrette comme une bête. Puis vint la position Andromaque ou Maitresse me demanda de lui rouler une pelle, pour finir en Balançoire. C’est dans cette position que Maitresse vint m’enlever ma cage et me branler. J’éjaculais en même temps que sa belle queue dans mon cul. Je sentis juste la chaleur au travers du préservatif.

J’avais trouvé cela très bon. Ma seule frustration était de ne pouvoir gouter son sperme. Maitresse mis plusieurs semaines à réitérer l’opération suivant ses fantasmes et les miens. En effet, elle avait dit plusieurs hommes.

Ce soir-là, ce fut 2 hommes plutôt bien montés entre 4 et 5 cm chacun environ. Je pris ma première double pénétration. Ça n’avait pas eu trop de mal à entrer car j’avais l’habitude avec Maitresse d’un gode de plus de 7 cm et d’un plug écarteur de 8,5 cm. J’ai eu le plaisir de prendre 2 belles queues dans la bouche et dans le cul plus quelques fessées. J’ai été défoncé par tous les trous mais ça avait été un pur bonheur. Seul le sperme me manquait ce que Maitresse ne manqua pas de me donner avec ses jets de cyprine. Puis vint ce soir-là.

Sans prévenir, elle rentra un vendredi à la maison vers 20 h. Elle m’avait demandé de me réparer pour la soirée style pute soumise. J’avais donc sorti corset, cuissardes, porte-jarretelles, menottes, cage à pointe et tige urètre, pinces à tétons avec poids, ballstretcher, etc… J’étais prêt lorsqu’elle entra mais pas seule. Elle était avec un grand bond, un black et une grande blonde.

« Ça va être ta fête ce soir mon petit esclave. Je t’ai trouvé 3 personnes safe » dit-elle. Et elle ajouta en regardant les invités : « Cette bonne ptite pute est à vous. Je veux qu’elle s’en prenne plein la bouche et plein le cul. Vous verrez, c’est une bonne salope qui n’attend que de se faire défoncer ». « Jolie ptite pute » dit l’un d’eux. Pendant qu’ils se déshabillaient, Maitresse Gaëlle m’attacha aux chaines du plafond et du sol bien écarté bien sûr. Elle attrapa le fouet et commença à frapper. Le premier coup, sur les fesses, comme d’habitude, me fit sursauter. « Je n’ai rien entendu » dit-elle. « Un, merci Maitresse »

Je pris vingt coups du dos aux cuisses.

Après le vingtième, Maitresse leur dit : « Elle est prête, elle est à vous. Défoncez-moi cette salope et arrosez là bien dedans et dehors ». Maitresse s’assit dans un confortable fauteuil avec sa caméra miniature et commença à filmer. Ils étaient tous très bien monté. Hé oui, même la grande blonde. C’était la plus grosse queue. J’aurais dit 6 x 20. Celle du black était plus longue mais moins épaisse. J’allais morfler. Les invités commencèrent à ma caresser partout et à tirer sur les différents poids (tétons et ballstretcher). Ils détendirent les chaines pour me faire mettre à genou et commencèrent à m’enfoncer leur bite dans la bouche. Je passais de l’une à l’autre qu’ils m’enfonçaient bien à fond en appuyant sur ma tête. Ils me détachèrent les chaines. Je pus alors les lécher, les sucer et les branler avec mes deux mains. Puis ils me défoncèrent le cul l’un après l’autre dans différentes positions. La grande blonde termina le travail. Lorsqu’elle s’arrêta, le black s’assit sur le canapé et je vins m’empaler sur sa queue dans la position du crabe après avoir bien lubrifié mon trou. Puis ce fut au grand blond d’entrer la sienne à son tour. Une fois les deux bien entrées, ils commencèrent leur va-et-vient de leurs deux grosses bites dans mon cul pendant que la grande blonde se branlais et finis par m’éjaculer une bonne dose de son sperme sur mon visage et dans ma bouche.

« Avale » dit-elle. Je m’exécutai. Son sperme était plutôt bon et crémeux. Pendant ce temps les deux autres accélérèrent le mouvement. Une douce chaleur se répandis à l’intérieur de moi.

« Oh ouiiiiiiii » dis-je. C’était trop bon. Le deuxième suivi de près.

« Ooooooh Ouiiiiiiiiii encore » ajoutais je.

Ils continuèrent quelques instants leur aller-retours. Quel pied j’avais pris. Maitresse m’enfonça dès leur sortie un gros plug pour ne rien perdre. Ils s’installèrent sur le canapé pour prendre un verre. Maitresse m’ordonna de me mettre à quatre pattes et de les sucer et branler pendant qu’elle prit le martinet et fouetta mes fesses.

« Alors, est ce que mon esclave a apprécié son traitement de bonne petite pute ? » avec un coup de martinet. « Oh oui Maitresse » dis-je « C’était très bon. Merci Maitresse. L’un de mes fantasmes a afin été assouvi ». « J’en suis très heureuse » dit Maitresse « On pourra recommencer ». Et re martinet. « La prochaine fois je participerai » dit-elle. « En attendant, tu vas repasser à la casserole ce soir, salope ».

Effectivement, après la pause, ils recommencèrent à me pilonner par tous les trous avec à nouveau une double sauf que cette fois la blonde me branla pour que les pointes entrent mieux dans ma bite pendant que le grand blond tirait sur mes tétons pendant qu’il m’enculait. La deuxième séance dura plus longtemps.

J’ai fini par jouir du cul sous les coups de boutoir de la grande blonde qui dut bien me labourer la prostate. Il n’y eu qu’elle qui éjacula dans mon cul juste à la fin de ma jouissance. Les deux autres dans ma bouche et sur mon visage. Je me suis régalé car pour finir, après s’être excitée, Maitresse m’envoya ses jets de cyprines sur le visage bouche ouverte. Maitresse a exigé que je nettoie tout le monde.

Lorsqu’ils furent partis, Maitresse dit : « Alors, mon chéri, tu as aimé être un bon esclave, une bonne salope, une bonne pute enfin un trou à bites quoi ? ». « Oh oui, quel pied » dis-je « Je ne m’imaginais pas ça comme ça ». « Tu recommencerais ? » « Oh bordel que oui !!! » « D’accord » dit-elle en souriant « Mais la prochaine fois, je participerai ».

Et elle passa ses bras autour de mon cou et m’embrassa. FIN

Très très belle histoire hummm j'adore.💖💖💖💖💖
Une jolie histoire, merci du partage.
Petite histoire bien sympa. J'aime beaucoup. Dommage en revanche que la mise en page niveau dialogues soit aussi brouillon. On se perd parfois dans qui dit quoi, et ça rend la lecture un peu compliquée.
La mise en page était bonne à l'écran !!!
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